Nous nous sommes efforcés de trouver le chemin du partage – je vois du reste que M. Caullet et de nombreux collègues nous rejoignent : il faut accompagner les agriculteurs et préparer l’avenir. Surtout, nous nous en remettons à l’autorité de trois ministres de la République, qui signent ensemble un document déclarant qu’on ne peut laisser les choses en l’état, qu’il faut aller de l’avant et trouver des solutions de substitution. Si cela n’engage pas le Gouvernement et la France, qui cela engage-t-il ?