Ce débat passionnant montre bien que la solution est difficile. Il faut en effet trouver un point de passage entre deux crêtes, deux excès qui seraient aussi mauvais pour l’environnement que pour l’agriculture. Nous convenons, madame la secrétaire d’État, que le débat doit se poursuivre – ce soir puis au cours de la navette parlementaire, mais aussi avec les agriculteurs, les utilisateurs, et les associations de défense de l’environnement, pour essayer de parvenir à un consensus. Il se situe en effet au-delà du politique ; c’est un débat de société. Dans cette perspective, M. Cinieri et moi-même retirons nos amendements de suppression.