C’est un sous-amendement rédactionnel qui vise à corriger une faute de français commise sur le mot « alternatives ». Sans se prononcer sur le fond de l’amendement, ce sous-amendement propose de remplacer « alternatives » par « solutions de substitution », l’expression usuellement utilisée dans l’écriture de la loi pour exprimer cette idée. Je ne vous lirai pas l’exposé sommaire des motifs, mais le mot « alternative », dans cette acception, ne se met tout simplement pas au pluriel.