Mes chers collègues, vous souhaitez tous parler et vous exprimer au-delà des temps de parole prévus. Or il reste 200 amendements à examiner et tout le monde semble vouloir achever l’examen du projet de loi cette nuit. Mais il faudra bien que le débat s’arrête à un moment donné : de fait, nous ne pourrons le poursuivre dans ces conditions si personne ne veut respecter les règles collectives.
La parole est à M. Rémi Pauvros.