M. François de Mazières soulève un sujet important. Il ne s'agit pas de ralentir la circulation des oeuvres mais d'affirmer que la place de Paris a un rôle à jouer dans le marché de l'art. Nous en sommes l'un des fournisseurs principaux de ce qui se vend sur le marché mondial : il faut envoyer un message aux acheteurs potentiels pour qu'ils sachent qu'une pièce peut se vendre dans des délais brefs à Paris aussi bien qu'à Londres ou Hong Kong. Le débat mérite en tout état de cause de se tenir dans l'hémicycle. C'est important pour notre économie comme pour l'art en général.