Cette politique nouvelle, au-delà du redressement dans la justice la plus aboutie, est apparue également à l'occasion de l'examen de ce projet de loi de finances rectificative, notamment à travers la priorité donnée à l'éducation nationale, et je remercie les députés qui l'ont à l'envi souligné.
Nous aurons d'autres échanges, mesdames et messieurs les députés. J'espère qu'ils se dérouleront dans un climat plus propice à ce qu'il est convenu d'appeler la sérénité des débats, laquelle cohabite assez mal avec l'obstruction systématique, la succession de plusieurs dizaines de parlementaires qui répètent la même chose, la répétition d'amendements rigoureusement identiques, la multiplication des incidents de séance. Je tiens à redire, que pendant cinq ans, de telles choses ne se sont jamais produites lors de l'examen d'une loi de finances. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Absolument jamais, monsieur Jacob, et je vous mets au défi de prouver le contraire.
Un député de l'opposition a estimé que les amendements étaient passés au forceps.