J’ai moi aussi creusé ce sujet depuis la réunion de la commission. L’UNESCO n’est certes pas signataire de la convention de Faro mais la commission a rétabli la version de l’article 18 A adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale car elle a voulu définir le patrimoine immatériel avec exhaustivité. Cette définition exhaustive du patrimoine immatériel intègre bien sûr les itinéraires culturels du Conseil de l’Europe, que vous venez d’évoquer avec passion.
Michel Piron nous le rappelle souvent, la loi est trop bavarde ; je vais m’efforcer de le suivre en maintenant mon avis défavorable sur cet amendement.