J’aurais aimé, madame Genevard, vous suivre sur la route des Vikings, des Phéniciens ou sur celle d’Al-Andalus, ce qui serait tout à fait opportun dans les temps que nous vivons. Cependant, comme vous l’avez dit, il s’agit là d’un patrimoine à la fois matériel et immatériel, deux aspects déjà pris en compte par le texte, que l’UNESCO soit signataire ou non de la convention de Faro.
Je pense donc que votre préoccupation est déjà satisfaite et maintiens par conséquent une position défavorable.