Vous demandiez, monsieur Vigier, pourquoi nous avions fixé un seuil de 150 m², et pas de 148 ou de 152. On pourrait demander, de la même façon : pourquoi 170, et pas 168 ou 172 ? En réalité, c’est le principe même du seuil que vous remettez en cause.
Pour ma part, je suis favorable à l’abaissement de ce seuil, et j’aurais même souhaité que nous allions plus loin. Mais je pense que c’est déjà là une avancée importante car, comme l’a dit très justement Annie Genevard, rien ne prouve que le recours à un architecte entraîne un surcoût. Celui-ci fournit aussi des conseils en matière d’aménagement et de conception, notamment sur les questions énergétiques.
Le recours à un architecte constitue donc une avancée à bien des égards : pour le confort des usagers, mais aussi pour l’architecture de nos communes, y compris de nos communes rurales, qui ont tout intérêt à avoir des projets de qualité.