Vous avez constaté, monsieur de Courson, que notre bonne gestion des dépenses publiques, qui finance par des économies toutes les dépenses nouvelles, nous permet effectivement d’être réactifs face aux besoins nouveaux qui apparaissent au fil de l’année, comme ça arrive à tous les ménages, toutes les collectivités, et de les financer au fur et à mesure, tout en respectant, comme le Premier ministre l’a rappelé ce matin devant la Commission européenne, nos objectifs de réduction des déficits. Nous l’avons fait en 2014 et en 2015 et nous le ferons en 2016.