Il ne s’agit pas d’isoler la France mais, peut-être, de renouer avec une tradition, celle d’une France combative qui éclaire l’humanité par certaines avancées. C’est dans cette lignée disais-je que s’est inscrit Dominique Potier et que nous nous sommes nous-mêmes inscrits à ses côtés.
Je regrette donc que, au XXIe siècle, on donne encore des arguments comme ceux que j’évoquais au lieu de donner des armes à nos grandes entreprises pour imposer des règles du jeu correctes à l’échelle internationale, dans la compétition qu’elles ont à affronter. C’est peut-être de cette dernière façon que vous devriez raisonner, chers collègues de l’opposition, plutôt que d’enfourcher les vieilles montures de la réaction.