Madame la présidente Auroi, je vous ai écoutée et je vous remercie de faire de même à mon endroit.
Il faut donc cesser, disais-je, de considérer que nous défendons des entreprises rétrogrades qui n’auraient pour objectif que de faire des bénéfices, au mépris des intérêts des enfants. Sur ce sujet, nous devons pouvoir avancer ensemble.
L’amendement no 1 a donc pour objet de supprimer l’article 1er, au bénéfice d’un travail en commun au niveau européen, voire international, et sous l’égide de l’OCDE et de toutes les organisations qui se sont déjà engagées dans cette voie.
Donc pas de coercition ni de texte punitif : travaillons ensemble, selon les indications que vous avez vous-même données, monsieur le rapporteur.