À chaque fois qu’on se met au travail, on trouve des solutions communes. Ne désespérez pas de cette possibilité de concorde, monsieur Lurton ! Je vous invite à soutenir notre proposition de loi.
Et puisque c’est l’une des dernières fois que je prends la parole, permettez-moi de développer un dernier argument. Chers collègues de l’opposition, ne vous mettez pas dans la situation de vos aînés, de ceux dont vous êtes les héritiers,