Excusez-moi, monsieur le président, je finis tout à fait. S’agissant des chargés de mission, j’en ai placé six ou sept quand j’étais président de région. L’État vous fait louer la salle, le bureau et le téléphone ! Ces jeunes-là n’ont aucune garantie. Il faut penser au statut diplomatique, à l’accréditation, aux réalités pratiques. C’est une très belle avancée, mais nous devons aussi être pragmatiques. Merci pour votre compréhension et votre bienveillance, monsieur le président.