Je ne veux pas aller trop loin dans la transgression. Certes, c’est une petite révolution, mais ce n’est encore qu’une étape. Le jour où tout le monde sera d’accord pour modifier la Constitution, parce que l’on considérera qu’il faut aller plus loin, nous le ferons. Mais, pour l’instant, contentons-nous de cette disposition. Cela n’empêche pas La Réunion de signer des conventions autorisées par l’État avec les États-Unis, mais cela relève d’un autre processus.