Ensuite, je me suis tournée vers la SNCF, qui m’a indiqué que la décision dépend exclusivement du Gouvernement.
Il y a eu une manifestation le 12 septembre dernier ; un collectif citoyen a fait signer une pétition et a été reçu par le cabinet de Ségolène Royal le 23 février. Les habitants n’acceptent pas que la gare de Saint-Maixent-l’École soit la variable d’ajustement de la mise en place de cette LGV.
Nous demandons que les territoires ruraux ne soient pas moins bien traités que les métropoles, ce qui n’aurait d’ailleurs pas de sens d’un point de vue écologique au moment de la mise en oeuvre de la COP21. Nous attendons maintenant une réponse du Gouvernement, c’est-à-dire une égalité de traitement avec Surgères, gare située sur la même ligne et dont le projet de desserte a été, lui, reconsidéré, contrairement à celui de Saint-Maixent.