Merci, madame la secrétaire d’État, pour cette réponse. Permettez-moi néanmoins de préciser un point : le centre de transit de ma circonscription a vu son taux d’occupation baisser et son taux de rotation réduire de moitié depuis que l’affectation des places n’est plus liée à la plateforme d’accueil. Le problème est là : 50 demandeurs d’asile par mois, soit 600 par an, n’ont plus accès à cette structure d’hébergement et d’accompagnement. Afin que ces places ne soient pas laissées vacantes, dans un contexte de forte pénurie, nous avons proposé qu’une solution, par le biais de conventions, soit trouvée très rapidement entre l’OFII et les associations gestionnaires.