J’entends bien votre réponse. Cela étant, j’ai reçu de nombreux parents d’élèves, qui n’ont pas véritablement été associés à cette réflexion. Certains d’entre eux, alertés par les « bruits de couloir » qui circulaient dans le lycée, avaient même anticipé et commencé à s’expatrier, si je puis dire, dans le département voisin.
La situation est embarrassante pour ces parents d’élèves et pour les élèves eux-mêmes ; ce hiatus dans la communication et l’insuffisante association de l’ensemble des partenaires expliquent sans doute l’inquiétude des parents, dont je me suis fait l’écho.