Nous devons tous nous en réjouir et garder à l’esprit que cette amélioration réelle de nos finances publiques doit être confortée, ne serait-ce que parce que notre dette publique reste supérieure à 2 000 milliards d’euros.
Monsieur le secrétaire d’État, ma question est donc simple : compte tenu de ces bons résultats pour 2015,