Pour ce qui est du redressement économique de la première entreprise de France, l'artisanat, l'exigence immédiate doit consister à remettre à plat le régime fiscal qui lui est appliqué.
Il conviendrait de faire émerger une fiscalité innovante. Ainsi, à l'échelle locale, des partenariats pourraient être imaginés afin qu'une entreprise puisse en financer une autre.
Enfin, en ce qui concerne la société Doux, comment peut-on, dans la droite ligne de la proposition de M. Charles Doux, sécuriser l'investissement d'agriculteurs qui décideraient de financer l'entreprise ? Quel pourrait être le rôle de l'État dans un tel schéma ?