Monsieur le secrétaire d’État, en cédant en 2006 ses participations dans les sociétés autoroutières, le Gouvernement de l’époque a profondément déstabilisé le modèle économique du financement des transports publics. Résultat : depuis dix ans, l’État cherche désespérément, et dans des conditions de plus en plus acrobatiques, un équilibre économiquement soutenable. L’AFITF doit aujourd’hui financer 12,8 milliards d’euros au titre des concessions et des partenariats public-privé, soit 30 % des engagements et 58 % des restes à financer.
L’ajournement sine die de l’écotaxe…