Je ne doute pas de la bonne volonté de Mme la ministre, ainsi que je l’ai dit en début de mon intervention. Le problème, c’est que les jeunes médecins ne veulent pas s’installer : ils ont peur de faire de la médecine générale, ils ont peur d’avoir une amplitude d’action compliquée, ils ne veulent pas faire la nuit profonde. Il faut donc prendre les choses en main. Je souhaite vraiment que l’ARS Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées puisse nous accompagner très fortement sur ce dossier.