S'agissant du PIA 3, je mettrai l'accent sur le premier axe que j'ai développé : nous avons la matière pour aller plus loin – on pourrait ainsi calculer les montants nécessaires pour toucher les 200 quartiers d'intérêt national. Mais, dans un PIA 3, nous ne chercherions plus forcément uniquement la nouveauté, la rupture ; nous pourrions déployer les innovations qui résulteront du PIA 2, donc accompagner davantage de projets.
S'agissant du co-investissement, les sommes allouées aujourd'hui sont importantes ; de plus, nous sommes toujours investisseurs minoritaires : elles permettront donc des actions fortes. Pour le moment, nous devons d'abord réussir à mobiliser les montants prévus par le PIA 2 ; cela prendra du temps, mais nous croyons pouvoir réussir. Bien sûr, en fonction des calendriers et des échéances, le PIA 2 pourra s'articuler avec un PIA 3.
Il faut aussi souligner que nous devrons ensuite gérer des actifs pour dix ou quinze ans – ce sont des programmes à long terme.