Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, nous vivons un moment très important : je partage en tous points, à cet égard, l’analyse de mon collègue Bernard Debré – cela me fera gagner du temps dans mes explications.
Permettez-moi tout d’abord de regretter – et n’y voyez, madame la secrétaire d’État, aucune allusion à votre rang ou à votre personne – l’absence, à l’occasion d’un débat aussi important, du ministre de la défense dans l’enceinte de la représentation nationale.