Où sont donc les légions germaniques, néerlandaises, belges, baltes, lettones et estoniennes ? Nulle part ! Personne, à part quelques individus épars ! Seule la France paye, et depuis toujours, le prix du sang aux côtés d’un allié britannique qui se reconstitue – péniblement – après le désastre irakien.
Dans le même temps, l’Allemagne, notre premier partenaire mais aussi notre premier concurrent, rachète méticuleusement toute notre base industrielle de défense : ce sont les bijoux de la nation qui sont ainsi systématiquement vendus aux industriels d’outre-Rhin.