Les heures complémentaires des salariés à temps partiel doivent être majorées, comme c'est le cas aujourd'hui, de 25 % pour les huit premières heures et 50 % au-delà. Ces salariés sont fragiles, en termes tant de statut que de rémunération, et 80 % d'entre eux sont des femmes, souvent en situation précaire.
Une majoration de 10 % ne leur permettra pas de sortir de la précarité.