Monsieur le rapporteur, vous êtes certainement familier du cas de l'entreprise Bosch de Vénissieux, puisqu'elle est située dans votre circonscription. En 2004, 98 % des salariés ont voté en faveur de l'accord signé. Dix-huit salariés l'ont refusé et ont été licenciés. Il serait intéressant de savoir ce qu'ils sont devenus et de quel accompagnement ils ont bénéficié. Malgré les promesses, six ans plus tard, la direction a annoncé un plan social en totale contradiction avec l'accord qui avait été approuvé. Comment dans ce cas peut-on parler de confiance et encourager la mobilisation des salariés ?