Une satisfaction, d'abord : nous n'assistons pas, avec cette opération, à une guerre-spectable comme on a pu en connaître en Libye ou en Irak. Je suppose que vous y êtes pour quelque chose, et je tenais à vous en remercier.
S'agissant de l'Algérie, nous avons noté une certaine prudence dans vos propos. On a le sentiment qu'une pression de la presse et de la population algérienne est à craindre. Qu'en est-il dans les pays voisins, la Mauritanie, le Niger et le Burkina-Faso ?