Sur le plan politique, on peut se montrer optimiste et espérer que des négociations donneront lieu à une sortie de crise. Après quoi il conviendra de passer aux élections. Un débat important a eu lieu aux Nations unies sur ce thème lors du vote de la résolution 2085, car les États-Unis ne reconnaissent pas le gouvernement de Bamako comme légitime. Avez-vous discuté avec vos interlocuteurs maliens de l'avenir politique du pays et de la capacité des administrations à fonctionner à nouveau si la sécurité est rétablie ?