Sans la décision courageuse du Président de la République, Mopti et Ségou seraient sans doute, aujourd'hui, occupées par les rebelles.
Un des objectifs de l'opération est de détruire les bases arrière. Mais celles-ci sont peu nombreuses. Que se passera-t-il ensuite ? Le conflit ne risque-t-il pas de changer de nature ? Et, comment, dès lors, allons-nous agir si nous restons seuls ?
Par ailleurs, ce conflit ne montre-t-il pas la nécessité de revoir rapidement notre stratégie et nos moyens en matière de renseignements ?