Pourquoi avons-nous été obligés d'intervenir dans l'urgence, sous l'effet de la surprise, alors que la dégradation de la situation au Mali est connue depuis des mois ?
Le risque est évident de voir les forces adverses – qui rappellent les rezzous actifs à une certaine époque au Sahara – se fondre dans la population. Comment, alors, adapter notre tactique militaire, et quels objectifs devons-nous fixer à nos forces armées ?