Le conseil d'administration de l'Agefiph ne s'est pas encore prononcé sur cette question. Il s'interroge en ce moment sur son positionnement par rapport à l'État et à d'autres partenaires. J'ai connu le fonctionnement du FIPHFP qui était « à la main » des politiques publiques, de sorte que l'intervention de l'État était directe et assumée. Je ne suis pas sûre que cela serait bien vécu à l'Agefiph. Quand il y a des alertes, on arrive à discuter et à se mettre d'accord pour éviter un veto de l'État.