Il s'agit de repenser notre modèle, parce que nous devons faire face constamment à des dispositifs et à des demandes supplémentaires. Le paritarisme est fortement mobilisé à trois niveaux : le niveau stratégique avec le conseil d'administration et le bureau, le paritarisme d'étude, avec les commissions sur la qualité et la coordination, et les commissions opérationnelles.
Pour les trois ans à venir, la mise en place du conseil en évolution professionnelle (CEP) amène le paritarisme à s'interroger sur sa mission d'accompagnement dans le cadre des dispositifs qu'il gère, mais aussi – et c'est une véritable innovation – sur l'accompagnement indépendamment de ces dispositifs.
En outre, la deuxième convention d'objectifs et de moyens nous oblige à nous interroger sur l'utilisation de nos moyens.
La gouvernance évolue pour adapter un modèle qui, lui-même, connaît des évolutions permanentes, qu'il s'agisse des dispositifs ou des relations avec les OPCA, la région et l'ensemble des opérateurs.
Le bilan de l'action paritaire assure la transparence sur les actions que nous menons. Nous sommes obligés de nous moderniser, de dématérialiser et de recourir aux technologies numériques sur lesquelles nous avons largement investi pour mettre à disposition de nos publics des informations sur les sujets qui intéressent les salariés, en particulier l'évolution des métiers.