Le 7 juillet 2015, M. Jean-Michel Fauvergue, chef du RAID, déclarait à la presse que l'on « ne peut plus se permettre une guerre des services » entre police et gendarmerie. Compte tenu de « l'évolution de la menace, on a besoin de tous les opérateurs ». De fait, la question du partage de l'information a été souvent posée, au point que M. Cazeneuve lui-même a dû taper du poing sur la table pour que les informations circulent davantage. Il ne s'agit donc pas uniquement de criminalité de droit commun, mais aussi de terrorisme.