Tout à fait, sous réserve cependant que des formations ciblées soient dispensées aux magistrats concernés. Il ne s'agit pas de réunir une centaine de magistrats pour un séminaire d'une journée. Actuellement, les compétences des référents antiterroristes se résument à la consultation de l'annuaire du « C1 » et aux affaires d'apologie. La circulaire du 18 décembre évoque une compétence, théoriquement en concurrence, mais de fait exclusive. Il nous semble nécessaire de sortir de cette réalité et de privilégier l'échelon des JIRS.