Non, il n’était pas acceptable que, dans une ville de cette taille, autant d’enfants aillent dans des écoles délabrées. Nous avons décidé d’intervenir avec fermeté mais dans le dialogue avec la ville de Marseille, et nous réalisons enfin les travaux qui auraient dû être faits depuis des années, parce que la ville de Marseille, certes, a accepté de mettre quelques moyens, mais aussi parce que l’État, avec sa politique de la ville – et je remercie Patrick Kanner – a accepté d’en mettre aussi. C’est au fond l’illustration de tout ce que nous faisons en matière d’éducation.
Je pourrais prendre les deux minutes qui me sont accordées pour vous expliquer à nouveau en quoi va consister la réforme du collège mais, honnêtement, cette question, vous me l’avez posée souvent, et je crois vous avoir apporté toutes les réponses.