La réserve de précaution, en tenant compte des crédits de report, atteint presque 10 milliards d’euros. Rapporté aux crédits effectivement pilotables, c’est énorme et cela remet en cause à la fois le vote du Parlement il y a quelques mois et la responsabilité des gestionnaires de crédits. Dix milliards d’euros, rapportés à une enveloppe pilotable de moins de 100 milliards : c’est plus de 10 % ! Cela remet aussi en cause la responsabilité des gestionnaires.