Choisir la facilité en augmentant les prélèvements obligatoires, comme vous l’avez fait, a mis par terre tous les moteurs de la croissance et asphyxié les classes moyennes.
Ce programme de stabilité signe l’absence d’une stratégie et je le regrette, d’autant que cette absence de stratégie a été accompagnée par les efforts immenses demandés aux Français depuis le début du quinquennat.
Ce programme de stabilité signe l’absence d’un cap économique, d’une vision. Les six millions de chômeurs que compte notre pays ne verront rien arriver d’ici à la fin du quinquennat.
Ce programme de stabilité est la photographie d’un pays qui ne va pas bien, et même moins bien qu’avant l’élection de François Hollande en 2012. Cette France ne va pas mieux et les mesures annoncées avant 2017 ne sont pas de nature à me rassurer car elles n’inverseront pas la courbe, n’apporteront pas de pouvoir d’achat et n’amélioreront pas la compétitivité française.
Croyez bien qu’en tant que député d’un groupe qui a essayé, à plusieurs reprises, de construire…