Cet accord global prévoit que les Syriens qui peuvent prétendre au bénéfice du droit d’asile pourront être accueillis dans les États membres voisins, notamment en France – et la France respecte ses engagements, monsieur le député.
Si nous n’étions pas intervenus dans le cadre de cet accord, la situation serait aujourd’hui inextricable en Grèce et inacceptable sur le plan humanitaire. Vous seriez le premier à le dénoncer, et vous auriez raison ! La France fournit aujourd’hui, avec l’Allemagne, des moyens en personnels pour venir en aide à la Grèce ; elle prend aussi sa part des responsabilités en acceptant la relocalisation d’un certain nombre de réfugiés syriens en France. Voilà le chemin que nous empruntons…