Soyons clairs : puisque le « 49-3 » nous pend au nez, nous allons poursuivre nos discussions mais nous n’aurons examiné que les dispositions relatives à une commission qui aurait tout aussi bien pu être constituée sous l’impulsion d’un ministre du travail ou d’un Premier ministre. Ce que nous faisons n’a donc aucun sens. Mes chers collègues, nous avons discuté 19 amendements, et il en reste 4 610. Pour ma part, j’espère que le groupe socialiste et le Gouvernement accepteront que l’on puisse ce soir, avant que le « 49-3 » ne soit proposé par le Gouvernement, débattre de l’article 2.