Je ne suis pas sûr que le fait de disposer d’une commission permanente permettrait d’obtenir des accords nationaux interprofessionnels – ANI – plus importants. Du reste, si les partenaires sociaux veulent mener ce type de négociation, ils peuvent déjà le faire. La question est moins celle de l’outil que celle du grain à moudre. Il n’y a probablement pas assez d’ANI aujourd’hui, et j’imagine que c’est un élément de la réflexion de la mission d’information sur le paritarisme animée par Jean-Marc Germain et Arnaud Richard.