Vous me demandez la raison des retards dans le versement des aides. Je vous rappelle que nous avons été soumis à un apurement lié à des aides versées entre 2008 et 2012. Cet apurement – négocié avec la Commission européenne – nous a contraints à refaire l’ensemble du registre parcellaire graphique. 25 millions d’hectares, madame la députée, ont été revus grâce à des photographies prises par satellite, et les services de l’État ont travaillé, durant l’année 2015, à remettre en ordre le registre parcellaire graphique, hectare par hectare.