C’est inédit depuis quinze ans. La première fois, en novembre, c’était pour protester contre la politique pénale du Gouvernement, qui était portée par Mme Taubira.
Ce matin, plusieurs milliers de policiers ont exprimé leur colère face au déchaînement de violence dont ils font l’objet depuis plus de deux mois : 350 policiers ont été blessés.
Notre devoir, monsieur le Premier ministre, mes chers collègues, en cet instant, est de témoigner notre reconnaissance, notre soutien, notre considération à ceux qui nous protègent, à ceux qui protègent nos libertés.