Du reste, ni le président du club des villes hôtes de l’Euro 2016, Alain Juppé, avec qui nous travaillons en étroite relation, ni aucun maire des villes concernées n’a demandé que nous procédions à cette interdiction.
Au terme du dialogue entre l’UEFA – Union des associations européennes de football –, les villes, leur président et l’État, nous avons fait le choix – également, comme je l’ai dit, pour montrer notre détermination face au terrorisme – de ne pas renoncer à ces fan zones.