Ou turque. Mais le problème des pays voisins, c'est qu'ils sont impliqués dans le conflit. Lorsque je parle d'une intervention au sol, je parle d'une intervention qui exclurait, après un accord politique, l'armée turque, l'armée iranienne et les armées arabes qui sont parties prenantes d'un conflit confessionnel. Nous n'avons aucun intérêt à prendre parti pour une confession contre une autre. On ne fera pas le coup des « conseils de réveil » aux Arabes sunnites, qui a plus ou moins fonctionné dans les années 2000, une seconde fois. La question cruciale est bien celle de savoir sur qui nous devons nous reposer. Il ne peut s'agir en aucun cas d'États qui sont, non pas une partie de la solution, mais le problème essentiel auquel nous devons penser.