Je maintiens l'amendement. Cela n'empêche pas de travailler, mais je ne vois pas comment l'on pourra écrire plus clairement que les normes doivent être les mêmes pour tous, que l'on vende au bord d'une route ou sur la place du village. À l'occasion d'une mission d'information, je me suis rendue à Mayotte, où j'ai vu des personnes vendre des thons sur des palettes qui avaient forcément été traitées ! Ce sont des questions de santé publique. J'ai aussi rencontré là-bas des agriculteurs et des pêcheurs qui voudraient développer la vente locale mais qui estiment que ces vendeurs au déballage leur font une concurrence absolument déloyale. Mayotte, c'est particulier, bien sûr, mais pas tant que cela, finalement !