Monsieur le secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. Je persiste à penser que votre ministère devrait tenir compte de la véritable évolution de l’esprit et de la conscience des anciens de l’ENSAM quant aux événements que vous avez évoqués et quant à ses traditions.
Le message est bien passé. Il faudrait cependant un peu plus de concertation, sachant que nous nous doutons bien que, comme nous, vous tenez beaucoup à la pérennisation d’une école aussi prestigieuse que l’ENSAM.