Un débat a lieu avec la direction de l’entreprise : le président-directeur général lui-même m’a écrit pour demander que le dialogue s’approfondisse, « dans la perspective de la fermeture des deux réacteurs de Fessenheim ».
S’agissant de l’indemnisation, je rappellerai, puisque les Français nous écoutent, que l’État est actionnaire à 85 % de cette entreprise. Les Français sont donc propriétaires de 85 % de cette entreprise. Toute indemnisation revient par définition à l’État.