Monsieur le ministre des affaires étrangères, ce que l’on appelle pudiquement le conflit israélo-palestinien perdure, s’éternise et, par conséquent, s’aggrave. Les décennies se succèdent et les générations, ici et au Proche-Orient, se désespèrent face à une impossible perspective de paix.
Le blocage, l’impasse actuelle ne doivent cependant pas inciter à la résignation, car la situation demeure profondément inquiétante. C’est la raison pour laquelle il faut saluer l’initiative prise par la France d’organiser vendredi prochain à Paris une conférence internationale sur le sujet.