Vendredi, près de trente ministres seront présents à Paris pour réaffirmer ensemble deux convictions. La première, c’est que la solution de deux États est la seule possible et qu’elle est aujourd’hui en danger. La seconde, c’est que la communauté internationale est prête à se mobiliser pour la préserver et offrir aux Israéliens et aux Palestiniens un soutien et des garanties indispensables à sa mise en oeuvre.
Il faut bien s’entendre : il ne s’agit pas de se substituer aux parties, de négocier à leur place. C’est à elles seules qu’il appartiendra en définitive de faire le choix courageux de la paix, mais nous pouvons les aider.